Un jour, dans sa baignoire, la jeune femme se retrouve les poignets perforés. Plus tard dans le métro, elle est fouettée par une force invisible. Une nuit, en discothèque, elle voit son front s’ensanglanter comme s’il était percé de centaines d’épines. Le plus curieux, c’est que Frankie est athée. Or les stigmates n’apparaissent généralement que sur des personnes extrêmement croyantes. Lorsque Frankie se met à parler araméen et à couvrir les murs de son appartement d’inscriptions occultes, Kiernan en perd son latin, et les convictions de cet ancien chimiste devenu prêtre s’ébranlent peu à peu. C’est là que l’influence de L’Exorciste commence à se faire sérieusement sentir. Car en pleine crise, Frankie, les yeux révulsés et le visage marqué, agresse Kiernan avec une force surhumaine, parle avec une voix de démon, s’automutile avec un couteau, s’élève dans les airs tandis que le mobilier bouge en tous sens, pleure du sang…