Mais ces voyages éclair dans le temps doivent se soumettre à des règles strictes. Il ne faut rien ramener du passé et ne rien toucher sur place, à part les dinosaures qui, de toutes façons, sont sur le point de mourir. « Quand on change quelque chose dans le passé, les conséquences ne sont pas immédiates, elles arrivent par vague, comme quand on jette un caillou dans l’eau », explique Rand. Or bien sûr, selon le principe de « l’effet papillon », des petits détails qui échappent à la vigilance de tout le monde finissent par créer des bouleversements inattendus. La température grimpe, les plantes se développent de manière alarmante, des insectes énormes prolifèrent… Puis surviennent les « bêtes » : des gorilles-dinosaures, des chauves-souris géantes, un gigantesque serpent de mer.