Le film d’horreur de Noël est devenu quasiment un sous-genre à part entière, et le premier Douce nuit sanglante nuit en est une sorte de mètre étalon, même s’il n’est pas le premier à aborder le thème du tueur psychopathe costumé en Santa Claus (il fut notamment précédé par Christmas Evil quatre ans plus tôt). Ce premier film marquant, qui n’hésite pas à profaner violemment toute l’imagerie sainte liée aux fêtes de fin d’année, a donné naissance à une franchise multiforme dont chaque épisode a tendance à s’éloigner un peu plus du long-métrage original pour partir explorer d’autres voies… pour le meilleur ou pour le pire !