Lorsque Stephen King écrit la nouvelle “Children of the Corn”, qui sera publiée en 1978 dans le recueil “Danse Macabre” (“Night Shift”), il ne se doute pas du nombre incalculable de films qui s’en inspireront. Cette histoire courte et efficace, inspirée en partie par les écrits de H.P. Lovecraft, ne s’étend pourtant que sur quelques pages. Ce matériau limité n’empêche pas producteurs et réalisateur de s’y abreuver sans cesse, au point que “Les Démons du maïs” sera le texte de King le plus adapté à l’écran, engendrant une dizaine de longs-métrages pour les grands et les petits écrans.